Je ne pouvais pas rester silencieux après ce moment de vérité, cette déclaration qui a résonné comme un tambour dans le cœur de chaque patriote. Oui, il suffisait de regarder cette affiche, d’écouter ce ton, de sentir cette énergie : ce n’était pas une simple prise de parole politique, c’était un appel au rassemblement, une rallonge de flamme dans un contexte où certains voulaient déjà nous croire essoufflés.
Je l’ai compris tout de suite : le combat continue, plus fort, plus clair, plus collectif.
Ceux qui espéraient une démission, un repli, un renoncement, n’ont rien compris à notre histoire. Car Ousmane Sonko ne parle jamais pour lui-même. Il parle pour nous. Il parle pour le Sénégal des humbles, des debout, des dignes. Manquer de respect à cet engagement, c’est manquer de respect à la Patrie elle-même.
Quand Sonko parle, il ne fait pas de politique au sens étroit. Il raconte le destin d’un peuple. Il le fait avec la conviction d’un conteur, avec la ferveur d’un croyant en sa Nation. C’est cette parole-là, libre et forte, qui nous ramène à la place de la nation, là où tout a commencé, là où les patriotes se reconnaissent sans badge ni calcul.
J’étais là, ou j’aurais voulu y être. Parce que ce qu’il a dit, je l’ai ressenti dans mes tréfonds :
le temps est venu de nous remobiliser, de reprendre le terrain, de rallumer la flamme.
Fini les doutes, les murmures, les pièges médiatiques et les pertes de temps dans des contre-attaques d’une opposition machiavélique. Nous avons un cap, une vision, une mission à accomplir ! Et si notre leader et le président Faye dépassent les querelles et les égos, qui sommes-nous pour entretenir la division ? Le temps est le meilleur juge !
Je le dis sans détour : notre victoire dépendra de notre unité.
L’ennemi le sait. Il ne peut pas briser notre idéal, alors il tente de fissurer notre cohésion.
Mais nous ne tomberons pas dans le piège.
Nous sommes le PASTEF, un mouvement né dans la foi, forgé dans la lutte, grandi dans la douleur, et aujourd’hui prêt pour la construction.
Le 8 novembre 2025, ce n’est pas une simple date. C’est le rendez-vous avec notre propre promesse : celle d’un Sénégal souverain, juste et debout. Et pour y arriver, chacun doit redevenir acteur, militant, sentinelle.
Je m’y engage. Nous devons nous y engager, ensemble. Patriotes du monde, unissons-nous !
Mouhamadou Moustapha Niang
Président Fondation Ndarmedicare, membre du Pastef

